
Salwa Rabhi
Mes yeux sont enfoncés et creux
Du côté proche d’un petit cœur
Non-convaincu de son battement
Dans les yeux creux.
Il y en avait qui était à l’écoute de deux fontaines
Faisant couler des eaux torrentielles,
Tandis que mes mains tremblaient
Au souffle d’un aveu
Dans des mains dénudées de leurs arbres,
Pour qu’elles ne fassent pas signe aux sangs coupables.
Ma blessure serait-elle le croassement de corbeaux
Se plumant afin qu’on ne les tienne pas par leur péché ?
Dans le tremblement des mains,
Il y en avait qui écoutait son sang
Puis se posa sur ses doigts blessés
Comme l’un des oiseaux des dieux !
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admin
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