
Zouhour EL Arbi
J’élèverai les murs du poème
Et je me planterai dans le sol du figuré
Comme un chêne au verdoiement sacré,
Aux fruits bénis
Et aux branches grimpantes
Je les élèverai les murs du poème
Et j’affermirai de force leurs serrures
Accomplissez donc la prière de l’absent en ma mémoire
Accomplissez-la individuellement
Et en groupes
Il n’y a aucune vie pour les prophètes
En dehors des champs de la poésie
Et les déserts périlleux de l’écart
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admin
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