
Mohamed Ammar Chaabnia
Nous avons eu accès au monde virtuel.
Mais nous n’avons pas trouvé
De toutes les espérances auxquelles nous aspirions
Ce qui est de nature à faire de l’illusion l’ombre de la vérité !
Ni le lendemain viendra,
Ni le temps de la veille n’est plus là,
Avec ce que nous espérons
Comme éveil,
Comme danse en accord avec notre rythme
Et comme miroirs de nos doigts qui y sont intimement plantés …
Rien …
A part des mots qui demeureront
Pareils aux bras de l’herbe dans la vallée,
Respirant la chaleur en été
Jusqu’à ce qu’ils périssent.
Nous les enterrerons alors
Et prononcerons silencieusement leurs éloges funèbres!
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admin
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